Le livre sans nom ^^

Voilà, j'ai commencé à écrire un roman, et je voulais un avis extérieur, donc voilà. Hésiter pas à dire ce qui ne convient pas, par exemple plus ou moins de description, plus de détail dans certaines scènes, etc. J'accepte toutes les critiques (et félicitations ^^). Et je n'ai pas encore de titre.

En supplément, et parce que je pense n'avoir rien (ou presque) à modifier dessus, je vous mets la carte de l'empire de Nohoria, lieu où va se dérouler en partie l'histoire (voir quasi complètement !). A savoir que c'est le seul endroit où vivent les hommes, avec également d'autres peuples sur ces terres.



Chapitre 1 :

Alors que j’avançais dans cette ruelle pour rejoindre le boulevard et rentrer chez moi, un bruit de moto derrière moi me fit me retourner. L’homme la conduisant s’arrêta à mon niveau, et retira son casque. Il était plutôt grand et musclé, mais n’avait pas l’air forcément très agressif. Je ne l’avais jamais vu, et étant dans un quartier sensible, je préférais ne pas rester dans cette ruelle. Aussi, j’accélérais le pas. En plus, il avait l’air de s’intéresser d’un peu trop près à moi. Plus vite j’atteignais le boulevard, mieux c’était. L’homme m’adressa alors la parole :
« Salut mignonne ! me dit-il.
- Salut, répondis-je en accélérant encore.
- Dis, ça te dirai d’aller prendre un verre avec moi ? On pourrait apprendre à se connaître.
- Non, merci, murmurais-je en ayant des débuts de sueur froide. Il n’avait pas l’ai si sympa que ça au final, avec son air envieux.
- Vraiment ? s’exclama-t-il. Dommage, moi qui pensait que t’aller accepter gentiment. Bon, je vais t’en proposer un de force alors. Et je crois que je vais sauter l’étape prendre un verre, et passer direct à la suite, ricana-t-il. »
Il n’eut pas besoin de parler d’avantage pour que je me lance dans un sprint comme je n’en avais jamais fais. C’est ma prof de sport qui aurait été heureuse ! Sauf qu’à ce moment là, c’est bien la dernière chose à laquelle je pensais. Ma seule chance de me sortir de ce très mauvais pas était de rejoindre le boulevard, qui m’apparaissait de plus en plus loin. J’entendis la moto démarrer. Mes jambes me portais je ne sais trop comment, sûrement grâce à la peur qui m’avait envahie quand l’homme m’avait accostée, et qui grandit un peu plus quand le motard me dépassa, pour s’arrêta un peu plus loin, au milieu de ma route. Un demi-tour, et je m’élançai dans la direction opposée. Un groupe d’hommes se trouvait en plein sur mon chemin. D’un air désespéré, je leur criai un « A l’aide ! » suppliant. Leur rire me fit comprendre qu’il n’était pas là par hasard. Le motard arriva alors à mon niveau, et continua d’avancer au même rythme que moi. Plus aucunes issues ne s’offraient à moi. Le groupe me cueillit en plein course, et me plaqua contre le mur longeant la ruelle en attendant l’homme. Au total ils étaient cinq, tous âgés d’une vingtaine d’années, et avec une carrure imposant le respect.
Ils m’emmenèrent dans un vieux squatte, en partie rénové au rez-de-chaussée. Sauf qu’eux allaient vers la cave. Avant de descendre, l’un d’eux parti vérifié qu’il n’y avait personne d’autres dans le squatte. Le peu que j’en voyais grâce à la lumière du soleil couchant me confirma que c’était une vieille maison, plutôt grande au passage. J’étais complètement paniqué à l’idée de ce qui allait suivre, et des larmes commencèrent à arriver. Je fermai les yeux pour les refouler, et ne pas montrer ma faiblesse à mes agresseurs. Il me fallait penser à quelque chose d’heureux, et le seul souvenir qu’il me restait de mes parents refit surface.

J’étais avec eux et mes deux frères dans un champ de fleur, sous un magnifique ciel de printemps. J’avais alors quatre ans, mon frère Gwendal deux, et Noah n’avait que quelques mois. Mon père tenait se dernier dans ses bras, pendant que Gwendal cueillait des fleurs. Moi, je riais aux éclats en courant vers ma mère, qui me prit dans ses bras avec un sourire rayonnant de bonheur.
Souvenir certes bref, mais qui me tenait à cœur plus que tout parce que c’était le seul que j’avais de mes parents. En effet, peu de temps après, nous avions été placés en famille d’accueil, car nos parents ne voulaient pas nous faire courir de risques lors de leurs nombreux voyages autour du monde. Les seules choses que nous avions d’eux, c’était leur prénom et quelques rares cartes postales qu’ils nous avaient envoyées dans les trois années ayant suivies leur départ. Nous n’avions absolument rien d’autres d’eux. Même notre nom de famille n’était pas le leur, nous portions celui de notre famille d’accueil.
Les hommes autour de moi parlaient. L’un d’entre aux avait prit ma carte d’identité dans mon sac de cours. « Elle s’appelle Alwÿne Le Ker, pas bien courant comme nom ! » entendis-je. Les yeux toujours fermés, j’essayais d’oublier tous ce qui m’entourait. D’un coup, je ne sentis plus aucune prise sur mes bras, ils m’avaient lâché. Je sentis une brise légère sur ma peau. Je n’entendais plus aucun bruit. Le silence était complet. Le cri d’un oiseau perça alors le silence. Pour voir d’où il provenait, j’ouvrai les yeux. Le spectacle qui s’offrit à moi me laissa alors stupéfaite.
Premièrement, je n’étais plus dans un bâtiment, mais en pleine campagne. Deuxièmement, je compris d’où venait le cri d’oiseau : deux rapaces volaient en rond à cinquante mètres du sol. Mais ces détails n’étaient rien comparés à la première chose qui me sauta aux yeux. Le sol était jonché de cadavres. Pas des animaux. Non. Des humains. Des soldats en l’occurrence. Et leur sang couvrait la terre battue par ce qui semblait avoir été un violent combat. Une odeur de mort m’emplit les narines, et je sentais que j’étais à la limite de l’évanouissement. Mais avant de m’évanouir, j’eus le temps de remarquer que leurs armes étaient des armes blanches, et que leurs vêtements étaient dignes des temps anciens. Et à part ces morts, personne. Seulement moi. Se furent les seuls choses que j’eus le temps de voir. Mais avant de tomber dans les pommes, ou dans les cadavres, suivant comment on voit les choses, mon esprit se retrouva face à face avec une question. Une seule.
« Où suis-je ? »


Pour les prénoms je veux bien avoir votre avis, surtout pour ceux des parents, biologiques et adoptifs.

j'aime beaucoup mais certain mots peu poli sont a enlever...
sinon pour les noms, rien à dire! c'est toi qui choisi! mais ils sont vraiment bien!

Merci et je vais voir pour mettre des petite étoile à la place de ces fameux mots

Merci de l'avoir fait toute seule, ça m'évite d'éditer

Je le lirais demain. Si j'ai pas mis un commentaire d'ici 3 jours envoie moi un MP pour m'y faire penser.

Bon, information. J'avance pas du tout sur le chapitre 2, les idées ne me viennent pas vraiment, et avec la reprise des cours, ça complique un peu plus. Mais sinon, Esîl, de rien, à près tout, c'est moi qui est mis des mots pas joli joli ^^ Et merci Shaé

C'est dommage que tu n'ais plus d'inspiration car le début est très bien.

j'en ai, j'ai même pas mal d'idées, mais je n'ai pas beaucoup de temps pour écrire :'(

Bah trouve du temps parce c'est SUPER MEGA ULTRA BIEN !!!!!

Bon ben je crois que j'ai plus qu'à m'y mettre ^^'

oui je t’enchaîne à une chaise s'il le faut pour que tu continue

Je t'aiderai Kaelys
IL ME FAUT LA SUITE !!!!! C'est comme de la droguee !!! C'est trop bien !!!
* bon la drogue c'est un peu exagéré^^*

Ah non Kaelys, pas besoin de m'attacher, m'enfermer dans une pièce avec juste une chaise, un bureau, ma trousse, et de la musique ça devrait suffire à ce que je finisse ce fameux chapitre 2 ^^ (et j'aime pas être attaché, je me sens moins... libre, alors qu'être enfermé, ben on peut comme même bouger un peu, même si c'est pas génial)

Là tu t'enfermes toute seule^^ ;D

J'attends la suite !!!! Alwyn je vais de faire des chatouilles jusqu'à ce que suite s'ensuive.

Kaelys ? Moi c'est Alwyn, mais c'est pas grave, tu peux quand meme la chatouiller ^^
Sinon, vraiment désolé, j'ai plein d'idée, mais j'arrive de moins en moins à écrire... Et puis ça va pas aller en s'arrangeant puisque j'ai de plus en plus de truc à faire. Et le début du chapitre 2 a déjà été écrit 3 fois, mais ça ne me plait toujours pas --'

Désolée !!!!!

Bon alors j'ai profité de mes vacances pour approfondir mes idées sur l'histoire, et aussi pour réécrire le premier chapitre, qui ne me plaisait pas tant que ça. j'ai donc modifié le premier post, à vous de me dire si vous trouvez cette version bien ou non Version bien plus courte au passage ^^' Et donc il y a de forte chance pour que ça devienne le prologue

Aussi, je tiens à préciser qu'en fait, je passe du temps à réfléchir à l'histoire, même si je ne l'écris pas forcément. En fait les idées viennent, se complètent entre elles, et ça devient un vrai fouillis d'idées, dans lequel je m'embrouille un peu parfois, même avec mes notes ><'

C'est presque que parfait !!!! tu écris : "Plus vite j’atteignais le boulevard, mieux c’était." je mettrai "Plus vite j’atteindrai le boulevard, mieux ce serai."

Mais écris la suite par pitié !!!

Oui, sauf que le texte étant entièrement au passé, ça passe pas si je mets du futur...
Et la suite, elle viendra... un jour peut-etre ... ^^' Mais en ce moment je suis motivée, et vu comment grandit le nombre d'idées que j'ai pour l'ensemble, je pense que je vais pas tarder à écrire la suite..
A savoir, l'histoire est tellement pleine de mystères (pour le lecteur) et de bordel entre les personnages, que je m'embrouille moi même parfois ><'

vivement !!!

Et bah alors, où est cette suite ?!

Ben désolé, mais là c'est compliqué, y a le soleil, les amis, le texte pour le concours, le texte pour mon maitre, et mes epreuves des français et d'histoire-géo de Bac qui arrivent, plus tout les controle avant le conseil de classe ^^' la galère pour prendre le temps d'ecrice quoi

J'avais oublié qu'elle était vieille ...

Qu'est ce que tu pourrais dire de moi alors Nola