la paire de baffes

Un homme....
Oui, un homme..
Qui parle à je ne sais qui....
Il dit: "Quoi?! La fille! Vous ne l'avez pas eu ?"
Il frappe violement son interlocuteur.
Soudain il tourne la tête vers moi. Comme un fantôme, il se lève et vole à l'horizontale. Il ouvre la bouche en fonçant vers moi comme si il voulait m'avaler.
Je tombe.
J'ai mal.
Partout.
Je crie, je m'évanouis.

Dormir...
Oui dormir..
C'est tout ce j'ai envie...
Ou mourrir, c'est bien ça aussi...
Mais une voix me retiens d'aller dans l'au-dela.
Une voix familière.
Un ami.
Qui me donne des baffes!
Et qui va en recevoir dès que je me réveille.
Si je me réveille.


Et finalement, je me rélève dans un tout autre décor: mon salon.

C'est super , j'ai hâte de voir la suite

Merci! ça fait plaisir de recevoir des compliment!!
Je travaille la suite!

J'aime bien!

Juste un truc à l'avant avant dernière phrase du deuxième paragraphes tu as mis :" de des baffes" Je pense que c'est une faute de frappe.

C'est génial !

Voici un autre, mais du coup, ça s'apelle plus la paire de baffes, en fait je trouve pas de titre...
Alors voilà:

Il me tient. Je sens une énorme main me prendre tout le buste. Sauf que la main n'est pas présente, elle est invisible.
Non, la vérité c'est qu' il use de sa magie pour me tuer. Il a une main tendue devant lui, fermée. Non! Presque fermée. Un léger espace pour que mon buste ne soit pas réduit en bouillie.
Nous sommes seuls, lui et moi. Un prédateur et une proie.
Un vent ballait mes cheveux et mon nez se met d'un coup à fonctionner. Une odeur envahit mes narines, celle de la mer.
Mon ennemi rit à plein poumon. D'un rire tonnitruant
Soudain, je ne sens plus la main autour de moi. Elle a disparue.
Je tombe.
Longtemps. Assez longtemps pour me dire que si il y a un sol sous moi, je meurs.
Puis après une interminable descente, en une seconde je suis trempée de la tête au pieds. Trempée mais sauve.
Je ne vois rien, c'est le silence complet. Je suis sous l'eau. N'ayant pas pris ma respiration, je me trouve vite en manque d'oxigène.
Je me débat dans l'eau pour retrouver la surface. Brutalement un air froid vient me giffler. Puis, c'est au tour d'une violente vague de me rendre la pareil.
Je suis dans une mer ou un océan. Et, sachant les probabilités de sur vivre sont assez mince parce qu'en pleine tempête, ça m'étonnerais que des bateaux aient l'idée de venir.
Je regarde autour de moi pour regarder si une terre se voyait au loin.
Oui!!!! Terre en vue!!
Je nage difficilement vers la rive et me sors de l'eau une fois arrivée là-bas.
Je suis trempée!
Trempée mais vivante.

J'adore ton style d'écriture!

Forte forte.

pas très bien compris ce que tu as voulu dire Nola...

Que tu es forte.

Merci!^^'

J'adore !

merci!! Vous êtes très gentils!!

c'est super!
j'aime surtout le premier!

dans le 3e texte tu as écrit sur vivre.

en voilà de nouveau mais là c'est de la rédaction avec sujet. Collège!!

Une Bonne action

Deux jeunes hommes se promènent tranquillement. Sur leur chemin, ils rencontrent un vieillard qui semble bien misérable; c'est l'hiver et il porte peu de vêtements,en lambeaux. Il grelotte:il ne doit pas manger à sa faim.
Alors les garçons bouleversé, décident de lui proposer le gîte et le couvert. Celui-ci accepte. Après avoir été réchauffé, nourri, rhabillé et dorloté, le vieil homme les remercie chaleureusement. Puis il les quitte.
Les jeunes gens réfléchissent et se disent qu'il est préférable d'aider les autres plutôt que de rester sourd à leur détresse.
Au diable, l'égoïsme!
C'est ainsi que le malheur d'autrui rend les hommes plus sages.


Devoir sur les fables:
La confiance de la grenouile
Une grenouille sur sa mare regardait autour d'elle pour chercher de quoi manger.
Soudain, elle repéra un petit Moustique s'approchant naïvement d'elle. Sa langue jaillit, s’emparant du minuscule Moustique mais, avant que celui-ci ne s'engouffre dans la bouche de la Grenouille, il cria: « Ne me mange pas! Ne me mange pas!» de sa petite voie.
La Grenouille hésite puis le libéra, posant cette condition « Si je te lâche, je veux que tu fasses cela pour moi: je soupçonne ma femme de me tromper avec un vilain crapaud. Espionne-la pour moi et tu auras la vie sauve». Le jeune Moustique accepta et s'en alla. La femme Grenouille était soupçonné injustement et le Moustique expliqua à la Grenouille mâle que sa femme ne la trompait guère.
Le doute ne s'installa plus dans le couple des marais et le Moustique devint le meilleur amis du couple gluant. La taille minuscule du Moustique régla donc bien des problèmes.

Sachez cela
Ou n'y croyez pas,
Dans tous les cas,
On a souvent besoin d'un plus petit que soi !

Voilà...

Je me souviens avoir du faire un texte sur ce dicton "on a toujours besoin d'un plus petit que soi" quand j'étais au collège !! Comme quoi les profs ont les mêmes inspirations x)

6è?^^

Pas mal !
Y a juste quelques petites fautes… sinon, c'est très bien !

copié vite fait mal fait!!^^

Ah ok…

Mais je n'ai aucune excuse...

Non, 4è ^^ Et j'avais fait un truc pourri avec une mouche espionne et un espion trop grand.... xD

Omg. Moi l an dernier 4e j'ai fait que des rédacs avec un sujet bien ... Bon en même temps quand on une rédac à faire je suis la seule de la classe à être contente. Et je rends 3 pages. Minimum ...

Non moi les rédacs bien c'était en 3è. La prof que j'avais était géniale, quand à celui que j'avais en 4è, mis à part lire la petite anthologie du théâtre pendant que lui lisait son journal en se curant le nez avec les branches de ses lunettes, ben j'ai pas fait grand chose.... Ah si, des dictées --' Je vous laisse imaginez la super année de 4è que j'ai pu avoir !
Mais bon, heureusement que l'année suivante j'ai eu une prof bien ^^ J'ai quand même réussi à la faire pleuréer avec une de mes rédacs !