Erîl: Compte rendu d'entrainement

C'est ici que sera rendue ta progression. C'est le topic pour l'entrainement, les exercices, mais aussi le partage. Bienvenu Erîl!

Ok   
Hem juste pour signaler que je suis privée d'ordi pendant une semaine donc je serai pas répondre   

Bien bien, alors commençons l'entrainement
On va démarrer avec 2h de gestuelle marchombre et un peu d'escalade. Tu dois grimper en haut de la tour Eiffel!!
Si tu me faisais un petit compte rendu de cet exercice? ( une quinzaine de lignes, plus si tu le sens )

J'ai le droit de prendre l'ascenseur ?   

Nan ! Et l'escalier non plus

Bon...
Je prends une corde et j'attache un bout autour de ma taille. Je lance l'autre dans un des espaces entre les barres de métal et reprends le bout que je serre aussi à ma taille. Je respire un bon coupe avant de commencer mon ascension. J'arrive tant bien que mal à la fin de ma corde. Je m’assois à califourchon sur la barre et défais mon deuxième nœud. Je relance la corde et... J'ai failli tomber ! Je relance donc la corde et refais un nœud avec le bout. Je fais ça jusqu'à atteindre les restaurants (oui, ça fait une demi-journée que je n'ai rien mangé) et perds trois quarts d'heure à engloutir n'importe quoi. Puis, je sors et recommence : accrocher la corde, faire un nœud, monter, défaire le nœud, accrocher la corde, faire un nœud, monter, défaire le nœud et ainsi de suite jusqu'à la nuit. J'ai atteins le troisième palier, la dernier (moins visible que les deux autres). Je suis fatiguée, j'ai faim et je veux dormir mais je ne tiens pas à décevoir mon maître. Je continue malgré tout à escalader. Je manque de tomber une fois, deux, trois. J'ai des courbatures sur tout le corps. L'aube est là et le sommet n'est plus qu'à deux mètres. Je me hisse sur le spot et m'accroche à la longue tige de métal sur le sommet. Je remarque alors un parachute (mon maître a vraiment pensé à tout ! Merci maître ^^) Je le mets à mon dos et saute dans le vide. Le vent me fouette le visage et je souris. J'ouvre mon parachute et fini par atterrir tranquillement à coté de mon maître qui roupille.
Tadaaa !

Belle performance !! Clap, clap ,clap !!!
Voilà un bon exercice ( je préfère ça à un poème sur une vice ...) , n'est pas , Shaé ?

Un bon résumé! Je n'ai trouvé qu'une seule toute petite faute (de frappe (corrigé )) et sinon l'écriture est fluide c'est décrit simplement mais de façon claire, et y'a même une pointe d'humour
point de développement: tu n'es pas resté longtemps en haut de la tour Eiffel, tu es passé très vite à la phase "descente"     qu'est ce qu'on ressent quand on est tout en haut? de la fierté? de la joie? de l'émerveillement devant la vue interminable? du vertige?

Donc continue comme ça!

Sinon est-ce que tu as des préférences en matière d'entrainement? Préfères tu des exercices qui stimulent l'imagination, qui travaillent la forme du texte et le style, qui développent ton âme de poète    ? donne moi tes préférences pour que je sache quel direction donner aux exercices afin qu'ils restent intéressants (sous réserve de quelques surprises personnelles ).

Au début, on est tellement surpris de la vue qu'on en reste bouche bée. Puis, on a l'adrénaline qui arrive et on croit presque dominer Paris. C'est un sentiment étrange mais très agréable.

Sinon j'aime bien les exercices de réflexions, de lectures, des poésies, des exercices comme celui-ci...
Je ne suis pas très difficile

et bien ça roupille ici!!

hop hop au travail!
écriture: on va compléter le précédent exercice: tu es monté en haut de la tour Eiffel, tu as passé toute ton ascension concentrée sur tes gestes, mais maintenant que tu es arrivée, tu commences à t'apercevoir, qu'en fait, c'est vachement haut... essaie de décrire la sensation de vertige, le vide qui t'attire, la reprise en main de tes sensations lorsque le vertige te quittes, puis décrit nous le lever du soleil sur la ville et la vision que tu en as du haut de ton point de vue.

Ben ça fait longtemps ! Désolée avec les examens je n'ai pas vraiment eu le temps :-[ Bref je vais écrire et décrire.

D'abord, je n'ose pas regarder en bas. J'ai peur d'être attirée par le vide et de tomber. Mais je finis par me lever et souris tellement la vue est magnifique. L'adrénaline prend doucement possession de mon corps et j'ai l'impression que tout est possible. Je me sens légère comme le vent qui fouette mon visage. Je ne me suis jamais sentie aussi libre. Je m'assieds, les pieds pendant dans le vide et contemple le soleil se lever. Il n'y a pas un seul nuage. Je fixe le soleil avec mon sourire jusqu'à ce qu'il soit complètement sorti de la terre et me dis qu'il est temps d'aller réveiller mon maître.

Voilà voilà ! Sinon je commence à bien l'aimer la tour Eiffel moi ;-)

Un coucou en passant. Désolée je ne suis pas très souvent là, année chargée. Ouhh quel mauvais maître je suis!!