cauchemar...
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Re: cauchemar...
Eux des amies qui se scarifient ?
Nola- Admin
- Messages : 2252
Date d'inscription : 23/06/2011
Age : 25
Re: cauchemar...
je comprend pas vraiment la place du "eux"...
mais oui j'en ai qui se scarifient.
que veux tu^^'
mais oui j'en ai qui se scarifient.
que veux tu^^'
Re: cauchemar...
beuh!! mais pourquoi elles font ça? c'est horrible et totalement inutile! c'est de l'automutilation!!!
Ipiu- Admin
- Messages : 2221
Date d'inscription : 21/06/2011
Age : 27
Localisation : chocoland world
Humeur : Espiégle
Re: cauchemar...
alors là je ne suis pas d'accord. c'est très utile au contraire.
quand tu veux par exemple ne pas pleurer car quelques chose t'a blessé intérieurement, tu te blesses (généralement, quand je suis en cours je me mord la partie de la main entre le pouce et l'index) et après tu te concentre sur la douleur physique et ça va mieux.
après le truc de se couper avec des lames de rasoir c'est un peu expéditif mais bon...
et puis en te mordant, ça reste pas longtemps!
et puis, c'est pas mon voisin de classe qui va vous dire le contraire car c'est uniquement grace à ça qu'il a encore toutes ses dents^^
et oui, ça sert aussi quand on est META énervée.
quand tu veux par exemple ne pas pleurer car quelques chose t'a blessé intérieurement, tu te blesses (généralement, quand je suis en cours je me mord la partie de la main entre le pouce et l'index) et après tu te concentre sur la douleur physique et ça va mieux.
après le truc de se couper avec des lames de rasoir c'est un peu expéditif mais bon...
et puis en te mordant, ça reste pas longtemps!
et puis, c'est pas mon voisin de classe qui va vous dire le contraire car c'est uniquement grace à ça qu'il a encore toutes ses dents^^
et oui, ça sert aussi quand on est META énervée.
Re: cauchemar...
MEGA je pense plutôt. Je ne vais pas m'attarder sur ce débat mais je suis de l'avie d'Ipiu. Effectivement ce faire mal aide des fois mais au point de se scarifier ... en tout cas je ne suis pas encore malheureuse à ce point. Mais Sha si tu aimes les trucs glauck va voir ça : https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=EOtA0L10JmM
par contre c'est complètement horrible.
par contre c'est complètement horrible.
Nola- Admin
- Messages : 2252
Date d'inscription : 23/06/2011
Age : 25
Re: cauchemar...
en effet... c'est un peu glauque.
je tape les deux textes que j'ai fait en classe et je vous les mets....
je tape les deux textes que j'ai fait en classe et je vous les mets....
Re: cauchemar...
le premier. Comme un intermède. Le calme avant la tempête.
La peur. Partout.
La peur dans ce monde.
Alors je m'enfuie. Loin. Très loin.
Bien plus loin que je n'étais allée.
Dans le rêve.
Cet univers où, enfin, je pourrai contrôler ma vie. Enfin je pourrai être moi.
Sans le jugement des autres.
Le rêve.
La lecture.
Et je me lance à l'aventure, devenant tour à tour guerrière, orpheline, magicienne et marchombre.
Je sors peu à peu de ma vie, la vraie, pour entrer dans cet univers unique sans souffrance ni pleurs.
Juste mon monde.
Et je lis.
Tout le temps.
Ce besoin vital de m'évader. De devenir un autre pour être bien.
Ne plsu souffrir.
Jamais.
Rêver.
Toujours.
S'évader.
Si loin, que personne, jamais, ne me rattrapera.
Si loin que la souffrance et la peur ne seront que de mauvais souvenirs.
Je vis.
Ma vie.
Enfin.
En rêve.
et voilà la tempête:
La souffrance. Toujours et encore.
La souffrance dans tout mon être.
La souffrance qui eclipse peu à peu les jours heureux qui l'ont précédés.
La souffrance, comme un abîme dans lequel je m'enfonce.
La souffrance pour moi et la souffrance pour l'autre.
Le rêve, seul endroit où je me sentais en sécurité, à été envahie par cet Autre, ce monstre que je deviens malgrè moi tous les soirs.
Tellement de nuits envahies par cet être que je sens, même le jour, l'odeur du sang et de la chair grillée.
Que j'entends, même le jour, les cris d'agoni de ma victime.
La signification de bonheur s'efface peu à peu de ma mémoire pour ne plus devenir que soumission et horreurs.
Et puis cette Voix.
Cette Voix qui m'appela, venant du haut, pour escalader la paroie d'onyx de ce gouffre infini.
Cette voix qui me promets lumière et chaleur mais qui s'éloigne inexorablement, au fur et à mesure de son assecion. Et pourtant, malgrè mon désir de la rejoindre, j'hésite à m'approcher de ces paroies qui me rappellent mes souffrances infinies, aussi longues que le chemin pour remonter à la surface.
Quel interêt au fond? De remonter cette pente pour me retrouver dans un monde oublié qui ne m'a apporté jusque là que des malheurs.
Ne pourrais je pas plutôt m'allonger ici, dans cette noirceur devenue mon quotidient, au lieu de lutter pour une chimère?
Oui, mais la Voix m'appelle.
Douce, chaleurese, elle m'attire et réveille en moi des sensation oubliées.
La joie. La satisfaction. Le plaisir.
La peur.
Peur de la perdre. De perdre mon seul guide. Mon seul espoir.
L'espoir.
Encore une découverte.
La chaleur.
Sensation oubliée au milieu de ce désert glacé, noir et hostile et dont l'absence de cette même chaleur me prive peu à peu de ma mobilité.
Et le désir.
Le désir de la suivre, jusqu'au bout du monde; celui de la rejoindre.
Et je m'approche, timidement, de la paroie suitante.
D'abord à quatre pattes, je me mets à genou pour finalement me mettre debout, chancelante, comme lors de mes premiers pas.
Comme un bébé qui apprend à marcher, je dois réaprendre à vivre.
Et je m'approche, toujours.
Malgrè la peur qui me noue les entrailles.
Et je la touche.
L'escalader?
Peut-être.
Et la Voix qui se fait pressante.
Oui. L'escalader.
La peur. Partout.
La peur dans ce monde.
Alors je m'enfuie. Loin. Très loin.
Bien plus loin que je n'étais allée.
Dans le rêve.
Cet univers où, enfin, je pourrai contrôler ma vie. Enfin je pourrai être moi.
Sans le jugement des autres.
Le rêve.
La lecture.
Et je me lance à l'aventure, devenant tour à tour guerrière, orpheline, magicienne et marchombre.
Je sors peu à peu de ma vie, la vraie, pour entrer dans cet univers unique sans souffrance ni pleurs.
Juste mon monde.
Et je lis.
Tout le temps.
Ce besoin vital de m'évader. De devenir un autre pour être bien.
Ne plsu souffrir.
Jamais.
Rêver.
Toujours.
S'évader.
Si loin, que personne, jamais, ne me rattrapera.
Si loin que la souffrance et la peur ne seront que de mauvais souvenirs.
Je vis.
Ma vie.
Enfin.
En rêve.
et voilà la tempête:
La souffrance. Toujours et encore.
La souffrance dans tout mon être.
La souffrance qui eclipse peu à peu les jours heureux qui l'ont précédés.
La souffrance, comme un abîme dans lequel je m'enfonce.
La souffrance pour moi et la souffrance pour l'autre.
Le rêve, seul endroit où je me sentais en sécurité, à été envahie par cet Autre, ce monstre que je deviens malgrè moi tous les soirs.
Tellement de nuits envahies par cet être que je sens, même le jour, l'odeur du sang et de la chair grillée.
Que j'entends, même le jour, les cris d'agoni de ma victime.
La signification de bonheur s'efface peu à peu de ma mémoire pour ne plus devenir que soumission et horreurs.
Et puis cette Voix.
Cette Voix qui m'appela, venant du haut, pour escalader la paroie d'onyx de ce gouffre infini.
Cette voix qui me promets lumière et chaleur mais qui s'éloigne inexorablement, au fur et à mesure de son assecion. Et pourtant, malgrè mon désir de la rejoindre, j'hésite à m'approcher de ces paroies qui me rappellent mes souffrances infinies, aussi longues que le chemin pour remonter à la surface.
Quel interêt au fond? De remonter cette pente pour me retrouver dans un monde oublié qui ne m'a apporté jusque là que des malheurs.
Ne pourrais je pas plutôt m'allonger ici, dans cette noirceur devenue mon quotidient, au lieu de lutter pour une chimère?
Oui, mais la Voix m'appelle.
Douce, chaleurese, elle m'attire et réveille en moi des sensation oubliées.
La joie. La satisfaction. Le plaisir.
La peur.
Peur de la perdre. De perdre mon seul guide. Mon seul espoir.
L'espoir.
Encore une découverte.
La chaleur.
Sensation oubliée au milieu de ce désert glacé, noir et hostile et dont l'absence de cette même chaleur me prive peu à peu de ma mobilité.
Et le désir.
Le désir de la suivre, jusqu'au bout du monde; celui de la rejoindre.
Et je m'approche, timidement, de la paroie suitante.
D'abord à quatre pattes, je me mets à genou pour finalement me mettre debout, chancelante, comme lors de mes premiers pas.
Comme un bébé qui apprend à marcher, je dois réaprendre à vivre.
Et je m'approche, toujours.
Malgrè la peur qui me noue les entrailles.
Et je la touche.
L'escalader?
Peut-être.
Et la Voix qui se fait pressante.
Oui. L'escalader.
Dernière édition par Shaé (alias arwouenn) le Mar 29 Nov - 6:41, édité 1 fois
Re: cauchemar...
la suivre je pense. Mais sinon c'est très jolie même si c'est un peu sombre. Ça a un côté poétique et un rythme très prononcé. bref j'aime beaucoup.
Kaelys- Messages : 200
Date d'inscription : 24/08/2011
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Re: cauchemar...
corrigé! (en effet, je ne vais cuire personne ^^')
merci Kaelys!
ça fait du bien de voir le fofo s'animer!!
le 14 on récupère les ordis!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
merci Kaelys!
ça fait du bien de voir le fofo s'animer!!
le 14 on récupère les ordis!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Re: cauchemar...
Euh quels ordis ??? J'ai pas tout compris là
Kaelys- Messages : 200
Date d'inscription : 24/08/2011
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Re: cauchemar...
en fait, on fait des travaux qui nous privent de la moitié de la maison et là je dois skoiter l'ordi portable de ma mère car on a plus les ordis^^' les autres...
et c'est pas pratiques car j'ai quelques minutes en général, le temps qu'elle s'en rende compte^^' (que je lui ai piqué l'ordi)
et c'est pas pratiques car j'ai quelques minutes en général, le temps qu'elle s'en rende compte^^' (que je lui ai piqué l'ordi)
Re: cauchemar...
... hourra !!!!
Kaelys- Messages : 200
Date d'inscription : 24/08/2011
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Humeur : Aussi changeante qu'un souffle d'air
Re: cauchemar...
je ne sais pas s'il est vraiment joyeux mais bon...
Je la déteste.
La simple mention de son nom suffit à me faire frémir.
De haine, pas de peur.
Jamais je n’aurai peur de cette femme, cette V’ala déguisée en humaine qui harcelle mon père.
Elle me le vole, me le kidnappe, me l’enlève, au moment ou j’ai le plus besoin de mon illusion, elle me la prend comme une peau de fruit pourrie et la met à la poubelle avec un plaisir sadique que je n’explique pas. Je ne lui ai rien fait.
Et je sais que je serai toujours incapable de lui faire du mal.
Pas tant qu’elle sera proche de mon père.
Elle s’approche, avide, se penchant sur mes lèvres pour aspirer mes paroles. Mais je ne dirais rien. Jamais.
La menace se fait plus présente.
Les larmes coulent.
Je n’ose plus respirer, de peur que chaque expiration emporte les mots fatidiques qui blesseraient ceux que j’aime.
Comme leur expliquer que, à cause d’eux, ma vie autrefois si douce s’était transformée en un véritable cauchemar ? Que chaque respiration était un combat ? Chaque pas une torture ?
Que ce n’est que grâce à une personne qu’ils ne connaissent pas que je peux me lever chaque matin ?
Que ce doux cocon de douceur et d’amour dont j’avais fait ma réalité et qui s’apprêtait à me libérer, moi, papillon fort et indépendant, et qu’A CAUSE D’EUX, il s’était transformé en prison où je dépérissais à petit feux, de ma fin de « je t’aime ».
Car je la sens, tout au fond de moi, qui me transforme, qui m’use, qui me transforme en un vampire dépendant de ces simples mots.
Avant habituels, presque quotidien, ils s’étaient raréfiés pour n’exister que quand, à bout de souffle et de larme, on me les murmurait à l’oreille sans y penser…
Sans âme, ces mots ne valent rien.
Alors je me mure dans une enveloppe vide qui n’est pas la mienne ; simple esprit scientifique et pragmatique, sans raison ni âme. Comme ces trois mots.
Je t’aime.
Oui, je les aime ces trois mots. Beaucoup, énormément.
Tellement que, pour les obtenir, ne serais-ce qu’en rêve, je suis prête à tous les extrêmes.
Après tout, une rose, même sans pétales, est toujours une rose.
Oui, mais ce que l’on aime dans les roses, c’est leur couleur, leur odeur, leur douceur.
Alors je me déteste.
Je ne les mérite pas ces trois mots.
Et elle, toujours elle, elle responsable de cette détresse infinie dans laquelle je me trouve.
Avant elle, sans être parfait, mon monde était moins douloureux. Grâce à cette flamme d’espoir qui avait germé en moi.
Et elle l’a soufflée.
Sans aucun remord.
Sans que cela l’empêche de dormir la nuit.
Alors qu’elle m’a plongé un peu plus dans cet univers sombre et glauque, elle continue sans même me regarder en face.
Sauf maintenant.
Et je charge mes yeux de toute ma haine, ma colère et ma souffrance pour lui rendre son regard.
« Pas besoin de me fusiller des yeux tu sais. »
Oh, si ! J’ai besoins d’évacuer tout ce que j’ai refoulé jusque là pour continuer de sourire à cette pét…e.
« Même les tollards me regardent avec plus de respect que toi. »
Oui, parce qu’eux ont besoin de toi. Pas moi.
Vas t’en.
Vas t’en et ne reviens jamais. Quitte ce monde.
Laisses moi tranquille.
En un mot comme en cent : DEGAGE !
Je la déteste.
La simple mention de son nom suffit à me faire frémir.
De haine, pas de peur.
Jamais je n’aurai peur de cette femme, cette V’ala déguisée en humaine qui harcelle mon père.
Elle me le vole, me le kidnappe, me l’enlève, au moment ou j’ai le plus besoin de mon illusion, elle me la prend comme une peau de fruit pourrie et la met à la poubelle avec un plaisir sadique que je n’explique pas. Je ne lui ai rien fait.
Et je sais que je serai toujours incapable de lui faire du mal.
Pas tant qu’elle sera proche de mon père.
Elle s’approche, avide, se penchant sur mes lèvres pour aspirer mes paroles. Mais je ne dirais rien. Jamais.
La menace se fait plus présente.
Les larmes coulent.
Je n’ose plus respirer, de peur que chaque expiration emporte les mots fatidiques qui blesseraient ceux que j’aime.
Comme leur expliquer que, à cause d’eux, ma vie autrefois si douce s’était transformée en un véritable cauchemar ? Que chaque respiration était un combat ? Chaque pas une torture ?
Que ce n’est que grâce à une personne qu’ils ne connaissent pas que je peux me lever chaque matin ?
Que ce doux cocon de douceur et d’amour dont j’avais fait ma réalité et qui s’apprêtait à me libérer, moi, papillon fort et indépendant, et qu’A CAUSE D’EUX, il s’était transformé en prison où je dépérissais à petit feux, de ma fin de « je t’aime ».
Car je la sens, tout au fond de moi, qui me transforme, qui m’use, qui me transforme en un vampire dépendant de ces simples mots.
Avant habituels, presque quotidien, ils s’étaient raréfiés pour n’exister que quand, à bout de souffle et de larme, on me les murmurait à l’oreille sans y penser…
Sans âme, ces mots ne valent rien.
Alors je me mure dans une enveloppe vide qui n’est pas la mienne ; simple esprit scientifique et pragmatique, sans raison ni âme. Comme ces trois mots.
Je t’aime.
Oui, je les aime ces trois mots. Beaucoup, énormément.
Tellement que, pour les obtenir, ne serais-ce qu’en rêve, je suis prête à tous les extrêmes.
Après tout, une rose, même sans pétales, est toujours une rose.
Oui, mais ce que l’on aime dans les roses, c’est leur couleur, leur odeur, leur douceur.
Alors je me déteste.
Je ne les mérite pas ces trois mots.
Et elle, toujours elle, elle responsable de cette détresse infinie dans laquelle je me trouve.
Avant elle, sans être parfait, mon monde était moins douloureux. Grâce à cette flamme d’espoir qui avait germé en moi.
Et elle l’a soufflée.
Sans aucun remord.
Sans que cela l’empêche de dormir la nuit.
Alors qu’elle m’a plongé un peu plus dans cet univers sombre et glauque, elle continue sans même me regarder en face.
Sauf maintenant.
Et je charge mes yeux de toute ma haine, ma colère et ma souffrance pour lui rendre son regard.
« Pas besoin de me fusiller des yeux tu sais. »
Oh, si ! J’ai besoins d’évacuer tout ce que j’ai refoulé jusque là pour continuer de sourire à cette pét…e.
« Même les tollards me regardent avec plus de respect que toi. »
Oui, parce qu’eux ont besoin de toi. Pas moi.
Vas t’en.
Vas t’en et ne reviens jamais. Quitte ce monde.
Laisses moi tranquille.
En un mot comme en cent : DEGAGE !
Re: cauchemar...
C'est super tu arrives vraiment bien à faire passer les sentiments à travers ton texte
Kaelys- Messages : 200
Date d'inscription : 24/08/2011
Localisation : Dans l'ombre des étoiles
Humeur : Aussi changeante qu'un souffle d'air
Re: cauchemar...
Je l'aime bien mais je le trouve moins bien que les autres.
Nola- Admin
- Messages : 2252
Date d'inscription : 23/06/2011
Age : 25
Re: cauchemar...
Tu préfère Td ou P.B ?
Nola- Admin
- Messages : 2252
Date d'inscription : 23/06/2011
Age : 25
Re: cauchemar...
quel choix cornélien!! c'est de la torture!!
Ipiu- Admin
- Messages : 2221
Date d'inscription : 21/06/2011
Age : 27
Localisation : chocoland world
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