Le retour...

Où se trouve-t-elle maintenant? Nul ne saurait vraiment dire où elle se trouve. Elle parcourt le monde, bien que certain aurait ouïe dire qu'elle aurait pris quelques vacances du côté du pays faël.

A-t-elle une greffe/apprenti(e)? Une greffe mais cela est pour le moment un secret mais pas d'apprentie elle ne se sent pas encore prête.

Son maitre/ sa famille est-il/elle toujours en vie? Son maître est toujours en vie. Ils leur arrivent de se croiser au détour d'un chemin, lors d'une soirée au coin du feu réconfortant d'une taverne. Pour sa famille, cela reste pour elle un mystère. Sa famille faël l'est toujours cela et certain sa famille biologique, c'est moins sur.

Nom : Sinhal

Prénom : Aelez

Âge : 22 ans

Histoire (minimum 10 lignes) : Née à Al-Vor. Sa mère (Maïsa) est cuisinière dans une auberge reconnue de la ville, son père (Brewal) travaille auprès des personnes chargées des transports de marchandises pour le seigneur d'Al-Vor (transports importants, comme argent, armes pour les soldats, etc. mais pas tout ce qui est nourriture ou petit truc insignifiant), et du ravitaillement d'Ondiane pour certaines marchandises. Elle a un frère de 19 ans (Judwal) et une sœur de 16 (Lynaën). Dans sa jeunesse, elle accompagna souvent son père jusqu’à Ondiane, ce qui lui permit de découvrir le talent des rêveurs, dont elle finira par apprendre les bases avec l’aide d’un d’entre eux, Esteban. Parce que les routes étaient dangereuses, son père avait trouvé quelqu’un pour lui apprendre les bases du combat, de la défense et de la survie, qui au départ refusa (voir liens perso). A 17 ans, elle découvrit, par le biais de l’art des rêveurs, qu’elle pratiquait occasionnellement pour soulager les douleurs des gens autour d’elle, qu’elle possédait l’art du dessin. Elle fit ainsi son entrée l’année suivante à l’académie d’Al-Vor, où elle put développer son talent.
Actuellement, elle vient de faire son arriver à l’académie d’Al-Jeit, où elle compte bien parfaire son art du dessin.

Description physique (minimum 5 lignes) : De taille plutôt grande pour une fille (genre taille mannequin ^^), elle n’a pas spécialement de particularité marquante (pas fine mais pas grosse, pas super musclée, normal en fait ^^). Cheveux bruns frisant légèrement qui lui arrive au milieu du dos, souvent mis en arrière par un bandana (coloré !), yeux vairons (gauche : brun presque noir ; droite : bleu-gris). Souvent habillée avec beaucoup de couleurs, mais toujours une touche de vert !

Qualité(s) : Très créative, optimiste

Défaut(s) : Impatiente, réservé (bien que ne le montre que très peu)

Goûts : Elle aime les autres (bien qu’un peu de solitude ne soit pas de refus), pratiqué l’art du dessin parce qu’elle aime créer et l’art du rêve pour aider ceux qu’elle apprécie. En revanche, bien qu’elle se débrouille assez bien au combat, devoir frapper d’autres êtres la rebute un peu (voir beaucoup ! sauf les raïs ou autres bestioles peu sympathiques).

Relation de départ avec les autres (en connait-il? souhaite-t-il aller vers eux?) :
Famille : Très soudée au reste de celle-ci, elle tire principalement sa volonté de l’amour qu’elle leur porte. En revanche, elle se garde bien de parler d’eux et garde bien au secret tout ce qui les entoure.
Esteban : Rêveur de 15 ans son aîné. Elle se lia d’amitié avec lui après qu’il lui est proposé, avec l’accord de ses supérieurs, de lui enseigner les bases de son art.
Aliya : C’est elle qui lui a appris les bases du combat. Elle ne l’a jamais dit, mais c’est en réalité une marchombre, mais qui ne voyait pas en Aelez la flamme de cette Voie si particulière. (Et elle n’avait pas tort ^^) Elle ne voulait rien lui enseigner jusqu’à ce qu’Aelez lui vienne en aide pour désinfecter une plaie importante qu’elle avait eu en combat, et qui demanda finalement l’intervention d’un rêveur présent en ville, qu’Aelez alla trouver pour elle.
Neige : Amie d’enfance d’Aelez, d’un an sa cadette, elle est parti en même temps qu’elle à Al-Jeit pour un apprentissage en couture et cordonnerie. Naïve, mais très sympathique.
Elijah : camarade de l’académie d’Al-Vor qui entre lui aussi à celle d’Al-Jeit.


RESUME : Elle dessine plutôt bien, est en mesure de soigner quelques menues choses à l’aide du rêve, et sais se servir d’une dague aussi bien que d’un arc (mais ce n’est pas extraordinaire non plus !). Elle trouve sa volonté dans l’amour des proches, et voit toujours la vie en plein de couleurs, avec une touche de rapidité dû à son impatience. Elle a toujours plein d'idées car très créative et imaginative.

Pour ce qui est du résultat d’analyse (les trois cercles), elle ne le saura qu’au bout d’un an à l’académie d’Al-Jeit. (même si j'ai déjà mon idée de ce que ça donnera )

Magnifique ^^ plus complet que ça ...
(n'aurais-tu pas étée écrivaine dans une autre vie ? )
Un petit ami? Elijah.... ? (ça manque de garçons tout ça... quelqu'un d'assez motivée pour en créér un?)

Pour l'instant, non, pas de petit ami... Peut-être plus tard ^^ (et peut-être Elijah, à voir ^^)

(c'est pas impossible que j'ai été écrivaine dans une autre vie ^^ j'aime tellement écrire que bon, ça peut laisser des doutes sur ça !)

wééééé!! on va faire un trio d'enfer!!
maais euhh pourquoi c'est moi la plus petiteeuuh!!!

Shaé c'est quand tu veux!!^^

Vas-y Shaé, vas-y Shaé, facile à dire!!
Il me manque la moitié des personnages prévus, alors vous devrez faire des dialogues avec des PNJ
Maintenant, tentez de concilier en une équipe: une maitresse d'armes, une apprentie dessinatrice et une marchombre perdue en pays Faël
M'enfin, c'était sans compter sur mon génie *auto-lèche botte*
J'ai prévu un peu tout et n'importe quoi alors quand je vous donne vos scénarios, faites vous plaisir

compte sur moi!!!

Mais toi aussi tu peux faire un perso, non? suffit de pas trop le comporter (mot inventé) en prévoyance de ce qui va se passer que tu as prévu...

Elle est pas perdue en pays faël, elle le connait comme sa poche! ^^

Mais t'es tellement forte que t'as quand même réussi à trouver un truc !
Piu, ta phrase n'est absolument pas française, mais j'ai réussi à comprendre !
Bon aller, on est parti !

En pleine concentration pour réaliser mon dessin, j'ai senti un espèce de truc bizarre se passer. Un cri d'Elijah à côté me fit stopper directement mon travail. Rouvrant les yeux, je vis alors un petit être humanoïde, qui avait l'air d'être proche de la mort... Je me demandais bien d'où il pouvait venir, et ce qu'il était exactement, mais le voyant dans cet état, je ne pu retenir un frisson d'horreur mélangé à une impressionnante dose de compassion me submerger. Je me mis a courir vers ce petit être, dont je remarquai des habits relativement étrange, car fait en feuille d'arbre. Ne me souciant guère de ceux-ci, aussi sales et déchirés qu'ils étaient, j'entrepris d'analyser ses blessures. Elijah, complètement déboussolé, s'approcha de moi et me dit au creux de l'oreille qu'il s'agissait d'un Petit, des êtres vivants dans une forêt très au Nord. Etonnée, je lui demandait tout de même d'aller chercher de l'aide, et si possible de l'eau. Puis je me penchai de nouveau vers le Petit, puisque s'en était un, et tant bien que mal j’entrai dans un Rêve pour essayer au moins de le sauver d'une possible mort, même si je n'avais aucune idée de comment était son organisme.
Au cours de ce Rêve, des souvenirs me revinrent en mémoire, mon père racontant une histoire où il était question d'êtres de taille très petite et adorant manger des framboises.

Tu peux continuer s'il te plait? ^^
Une fois que tu l'as sauvé, tu fais quoi?
Je ne ferai que raconter ce qu'il sait. Mais où le raconter, devant qui?

Elijah revint alors avec un rêveur, par chance présent ce jour à l'académie. Il me rejoignit alors dans le rêve, dont il prit le dessus. Épuisée, je lui laissais la place de bon cœur, surtout qu'il maitrisait son art, alors que moi pas encore tout à fait. Alors, je pus voir le Rêve se dérouler sur le Petit, dont les blessures principales arrêtèrent définitivement de saigner, commençant doucement à cicatriser, là où je n'avais réussi qu'à réduire le flux. Le Petit s'était évanoui quand je l'avais pris en main, et il ne se réveilla que bien plus tard, après que le Rêveur ait pu finir son travail. On l'avait emmené dans une des rares chambres de l'académie afin qu'il soit plus tranquille qu'au milieu de la cour, bondée par les regards curieux et étonnés.
A son réveil, j'étais seule auprès de lui, et en le voyant s'éveiller doucement, je prévins par le biais des Spires Elijah et un de nos professeurs, qui était avec le rêveur à l'arrivée de mon ami, que le Petit sortait finalement de son sommeil. Étant à l’autre bout de la chambrée, je m'approchais du lit en regardant le Petit avec compassion et émerveillement. Et à son tour il me regarda.

PS : au choix, juste à elle, ou à Elijah, le prof, et le rêveur accompagnant le prof.

En fait, changement de programme.
A toi de broder autour de ce que je t'ai donné.
C'est peu, mais ça m'amuse
(vengeance, douce vengeance )

Données actuelles:
mois: juillet
lieu: Al-Jeit pour Alw et Piu, pays faël pour Vas

"Vous êtes vraiment très grande."
Le Petit me regardais comme si moi je voyais un Thül pour la première fois. Le regardant à mon tour, je remarquais qu'en réalité, il portait très bien le nom de se race !
"Et vous, comment dire.... vous êtes vraiment très petit !"
D'un air plus qu'étonné le Petit me demanda alors : "Vous parlez le Petit ?!"
C'est à ce moment là que maître (?) entra dans la pièce, suivi du rêveur et d'Elijah. S'adressant à moi, il me dit :
"Cela fait longtemps qu'il est réveillé ?
-Non, c'était il y a cinq minutes à peine" lui répondis-je.
Le Petit, n'ayant pas de réponse, et étant presque effrayé par le regard que lui portait Elijah, obnubilé par le fait de voir un Petit, ainsi que l'arrivée soudaine des trois hommes, resta bouche bée un moment, puis parla à tout le monde. [le Petit, rendu muet par l'arrivée des trois hommes et le regard obnubilé d'Elijah, qui voyait un des leurs pour la première fois, marqua un temps d'hésitation avant de se reprendre]
"Depuis quand les humains parlent le Petit ? Je comprends tout ce que vous dites, dit-il.
-Euh... comment expliquer cela ? Une ancienne élève de l'académie -- là où vous êtes actuellement -- a fait un Dessin pour que nous vous comprenions, et inversement, essaya d'expliquer (?).
-Vous dites que quelqu'un a pris un crayon et a dessiné partout pour que l'on se comprenne ? interrogea le Petit, sceptique.
-Non, pas ce genre de dessin. Ce que ici nous appelons Dessin, c'est le résultat d'une sorte de... sort ? répondis-je.
-Et depuis tout le monde peut nous parler !
-Oui, c'est cela, dit notre professeur. Elle en a eu besoin pour comprendre deux d'entre vous qui ont élevé une humaine, Ellana. Je crois que sce sont Oukilip et Fililip...
-Ouk ! Et vous devez parlez de Pilipip alors, ces deux là sont inséparables ! s'exclama-t-il joyeusement en entendant les noms de ses confrères. Je me souviens d'avoir entendu parler[dire] qu'ils avaient élevé une humaine, oui, mais j'étais trop petit pour m'en souvenir aujourd'hui.
-Je ne vois pas vraiment comment vous pourriez être plus petit que ce que vous êtes actuellement..." dit tout bas Elijah.
Faisant volte-face pour le regarder dans les yeux, je ravalais mes commentaires acerbes et lui fit signe de sortir. Il avait tendance à dire les mauvaises choses dans certaines situations, et j'étais souvent amenée à lui dire de se taire. Là, je préférais qu'il sorte, surtout que les possibles révélations du Petit risquaient d’être révélées à tout va, avec une langue aussi pendue que la sienne. Elijah me fixa alors un instant, puis se retourna pour sortir violemment dans le couloir. Je l'avais vexé, mais il le fallait pour le Petit.

Essayant de passer sur le fait, le rêveur s'adressa alors au Petit :
"C'est moi qui vous ai aidé et soigné, avec l'aide de la jeune fille ici présente. Vous étiez complètement déshydraté, et à la limite d'en mourir. J'aimerai savoir ce qui vous est arrivé, pour que nous vous aidions au mieux après ça.
-Et si possible, moi j'aimerai savoir comment vous êtes arrivezé jusqu'ici, si ce n'est pas trop indiscret... dis-je en souriant.
-Comment je suis arrivé ici, c'est simple. Nous utilisons de temps à autres les arbres passeurs, qui sont reliés entre eux par un réseau très important. Ce réseau nous sert de routes pour voyager d'un endroit à un autre. Cherchant de l'aide, j'ai choisi celui qu'il y a dans votre cour. Pour ce qui est de ma détresse, c'est parce que notre forêt Maison s'assèche, et nous sommes incapables de l'aider. Avec un groupe, j'étais parti voir plus au nord pour essayer de trouver une cause à cela, et nous avons fini par nous déshydrater, sans plus aucune source d'eau pour nous abreuver. Puis un groupe de raïs est arrivé et a commencé à nous attaquer. Sans défenses, les autres ont réussi à s'échapper par le haut [en montant aux] des arbres morts autour de nous, mais j'étais trop faible pour les suivre. Finalement je me suis retrouvé face à un arbre qui n'était pas encore complètement asséché et il s'est révélé être un arbre passeur, pour mon plus grand bonheur. J'ai pris un des premiers chemins qui s'offrait à moi, et le voyage m'a au final presque tué."
Tous trois, nous le regardions avec respect. Ce qui lui était arrivé, je ne le souhaitais à personne. Mon maître décida finalement, avec l'accord du Petit, de prévenir l'empereur afin de trouver un moyen de leur venir en aide. Je restais avec lui pour parler encore un peu, surtout pour qu'il sache exactement où il était arrivé, et qu'il en connaisse un peu sur les personnes qu'il serait peut-être amené à rencontrer, comme l'empereur. Finalement, je me rendis compte que j'oubliais une chose.
"Au fait, j'ai manqué aux règles de politesse en oubliant de me présenter. Je m'appelle Aelez.
-Joli prénom, moi c'est (?)"

PS : je n'ai pas de nom pour le Petit et le maître, si quelqu'un en trouve je veux bien ^^''



Edit ipiu: Les fautes sont en rouge et les propositions stylistiques entre crochets. Vous avez tout loisir de modifier et corriger pour qu'il n'y ait pas du rouge partout ^^

Non loin de là, de l'autre coté de la ville, le quartier commerçant se préparait, comme tous les jours à la même heure, à plier échoppes et étalages, clôturant ainsi une journée de plus dans la vie monotone des petites classes. Après une journée riche en troc, vente, achat et marchandage, chaque arisant rangeait qui ses belles miches (plus très fraiches en cette fin de journée), qui ses étoffes et soieries couteuses, qui ses pyramides de fruits de saison, pliant les auvents, rangeant étals et marchandises.
Au milieu de cette agitation quotidienne, la joaillière nouvellement installée (cela faisait maintenant presque deux ans, mais pour certains commerçants l'ancienneté se comptait en vingtaines d'années), remballait bagues et colliers dans des étoffes de velours.
Soraya était satisfaite. La journée avait été fructueuse, et un des nobles de la capitale était même venu passer commande d'une parure en diamants noirs, un cadeau pour sa belle - pas forcement celle qui portait son nom -, pour lequel il était prêt à payer le prix qu’il fallait. Parfait.
Après avoir rangé avec soin ses créations dans le coffre de son atelier, la jeune fille s’évertua à baisser le lourd panneau de bois qui fermait la fenêtre de son étal. C’était toujours la partie la plus ardue. Cet imbécile de menuisier avait fait une planche trop large pour l'ouverture, et il fallait caler 10kg de bois massif avec des planchettes et seulement deux mains. Mais au moins, ça dissuadait les voleurs d'entrer par là.
Soraya essuya son front humide et rentra dans la boutique. Elle avait déjà fait l'inventaire la veille, ce qui lui laissait la soirée pour ses activités personnelles, pas forcement avouables.
Elle écarta le rideau qui masquait l’arrière boutique aux clients trop curieux, et entra dans la petite pièce sombre. Elle alla directement vers un coffre dans un des coins, l'ouvrit délicatement et contempla sa collection. Là, dans des boites de cuir épais, dormaient ses œuvres les plus secrètes. Les petits poignards aux lames courtes côtoyaient les longues dagues effilées, toutes en courbes et ondulations. Chaque arme était ornée de pierres vulgaires (car on ne gâchait pas les gemmes précieuses pour un hobbie), mais l'agencement des incrustations et des plaques gravées de nacre et de métal donnaient une impression d'élégance et de simplicité. Des objets de pure inutilité pour un artisan comme elle, qu'elle aurait pu, de surcroit, vendre fort cher si elle avait décidé de dévoiler son habileté. Mais ils constituaient son jardin secret, et rien n'est plus sacré que cela.
Soraya ouvrit l'un des coffrets, admirant les courbes du manche en bois de rose, et effleurant du doigt les incrustations de cuivre, qui formaient spirales et entrelacs de fleurs. Son doigt s’arrêta sur un bouton de rose. Quelque chose clochait. Son regard parcouru la pièce et revint sur le coffre ouvert devant elle.
Prise d'une soudaine inspiration, elle remballa précipitamment la lame qu'elle admirait, posa la boite à terre et entreprit de vider le coffre de l'intégralité de son contenu. En arrivant au fond, son cœur marqua une pause.

A des centaines de kilomètres d'Al-jeit, une marchombre regardait la danse des nuages depuis le sommet de la falaise sur laquelle elle avait grimpé en faisant la course avec son frère adoptif. Celui-ci était reparti depuis un long moment déjà, tandis que la jeune femme était restée pour exécuter un peu de gestuelle et réfléchir.
Cela faisait maintenant un mois qu'elle était revenue dans son village natal, au fin fond du pays faël, et l'envie de repartir se faisait de nouveau sentir. Mais elle hésitait. Elle ne savait pas quand elle reviendrait et avait envie de voir son neveu grandir. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle avait eu envie de grimper le plus haut possible et qu'elle était parti tôt le matin, assez vite rejoint par son frère.
Elle allait s'élancer dans le vide à ses pieds, sentant bien que la réponse à sa question ne viendrait pas de suite, quand un bruit la fit se retourner, sortant son poignard dans le même mouvement. Déoria vit alors un jeune faël, qui avait tenté de la surprendre, elle sourit en le voyant tout penaud et engagea la conversation avec lui.
Suite cette brève conversation, le jeune faël repartit et Déoria après avoir attendu un peu s'élança dans le vide, crocheta une prise et entreprit de descendre la falaise le plus rapidement possible même si cela impliquait de lâcher sa prise pour en récupérer une autre bien plus bas.
Une fois en bas, elle prit la direction de la maison par un bien mince sentier. La marchombre n'avait pas vu le regard qui avait suivi toute sa descente.


Edit ipiu: Les fautes sont en rouge et les propositions stylistiques entre crochets. Vous avez tout loisir de modifier et corriger pour qu'il n'y ait pas du rouge partout ^^

Edit vas': Fautes et style corrigés. Merci Ipiu! ^^

On m'a harcelée de questions mais les réponses viendront bientôt^^
Merci à vous toutes pour votre participation et à Vast pour avoir trouvé une introduction à son épopée toute seule comme une grande parce que dans ton rôle je sèche un peu^^
Il faudrait juste que tu me dises ce que tu prévois par MP s'il te plait^^
Ipiu, je te laisse continuer un petit peu pendant que tu attends Alw (vous êtes synchro, la classe!)

Il restait une boite au fond. Une boite qui était là depuis fort longtemps et qui aurait du y rester encore de nombreuses années.
Elle sortit l'écrin des profondeurs de la malle. Il était plus long et plus étroit que les autres, d'un cuir clair qui semblait avoir bien vécut. D'une main tremblante appréhension, elle l'ouvrit.
Il était vide.
Ses yeux s'agrandirent de surprise, tandis qu'un sentiment d’incompréhension l'envahissait. Visiblement quelqu'un s’était introduit chez elle et avait emporté le contenu de la boite. Mais celle-ci était tout au fond de la malle! Le voleur avait surement du vider entièrement la malle, comme elle peu de temps auparavant, et ensuite tout ranger, car elle ne s’était aperçu de rien jusqu'à maintenant. Alors qu'il aurait été tellement facile de piocher une lame au hasard sur le dessus. Après tout, elles valaient toutes la même chose.
Sauf peut-être celle qui avait été volée.
C’était plutôt une valeur sentimentale, et vue de l'extérieur elle ressemblait à toutes les autres. Mais Soraya se méfiait des coïncidences. Et connaissant les origines de cette dague, le fait qu'on aie volé précisément celle-ci était plus que troublant.
Après tout, c'etait quand même la première qu'elle avait fabriqué. Et forgé par dessus le marché!

Un travail dont on doit être fier, non?

j'ai pas fini! j'ai pas fini!

Et indépendamment du reste un petit récap des gemmes!

Spoiler:

Et j'en profite pour vous dire que tous les commentaires sur les différents textes sont les bienvenus!!! (entre parenthèses svp)

(que l'on note bien qu'il y a 4 jours entre ce message et le précédent! Donc pas de flood! :p)
Voila voila pour plus de clarté un pitit schéma de l'objet dont il est question!

désolée piu, mais je t'ai piqué ton dessin j'ai sauvegardé l'image, pas d'inquiétude!

Il est beau!

N'est ce pas?
Je te le rendrais dès que [les lapins sauteront dans mon jardin]

Et voila!
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Après avoir suivi le sentier pendant un petit moment, la marchombre arriva dans une clairière où se trouvait une bâtisse plutôt grande. On pouvait y voir courir et jouer de nombreux enfants faëls. A côté de cette bâtisse, se trouvait une maison un peu plus petite. C’est vers elle que se dirigea Déoria. Arrivée près de la maison, après avoir salué tous les jeunes faëls, elle s’installa à côté de sa belle-sœur et regarda son neveu d’un air tendre.
« Quelque chose de tracasserait-il ma sœur ? » demanda la faëlle.
- En effet, je doute !
- A propos ?
- Je ne sais si je dois rester ou partir. J’aimerai bien le voir grandir et si je pars je ne sais quand je reviendrai.
- Je sais que ça ne sera pas pareil mais je pourrai toujours t’envoyer des portraits. Le messager saura toujours où te trouver.
- En effet ! »
La marchombre se tut, réalisant soudain que le silence s’était fait parmi les enfants. Elle se leva et scruta la clairière. C’est alors qu’elle le vit. Grand, blond, habillé de la même façon que les marchombres mais ne semblant pas appartenir à la Guilde, il scrutait la clairière comme si il cherchait quelqu'un.
« Mère ! Il faut rassembler les enfants et les mettre en sécurité » cria Déoria à une faëlle.
Les enfants furent vite mis à l'abri avec tous les faëls présents. Seuls restaient Déoria et l’intrus.
« Qui est tu ? Et que nous veux-tu ? demanda la marchombre à l’intrus.
- Te tuer me suffira ! répondis l’intrus avec un sourire sadique avant de se précipiter vers la marchombre. Celle-ci dégaina l’un de ses nombreux poignards pour parer le sabre.
- Un mercenaire du Chaos, souffla la jeune femme.
- Exact ! » répondit à nouveau le mercenaire sans se départir de son sourire.
S’engagea alors un combat où chacun essayait de prendre le dessus sur l’autre. Soudain Déoria posa son pied sur un des jouets et tomba à la renverse. Le mercenaire s’approcha et posa la pointe de son sabre sur la gorge de la marchombre, avant que celle-ci n’ait le temps de se relever.
« Te tuer serait bien dommage, dit-il en se regardant la marchombre à ses pieds de haut en bas avec une lueur légèrement perverse dans le regard. Je t’ai vu à l’œuvre de nombreuses fois et ce combat n’a fait que confirmer ce que je pensais. Rejoins-nous et je pourrai t’offrir, plus, beaucoup plus que ce que la Guilde a à t’offrir.
- Jamais ! cracha Déoria.
- Tu as tort de refuser, tu es à ma merci.
- Plutôt crever que de vous rejoindre.
- Je ne te tuerai point, je pense d'abord m’en prendre à ta famille et à ce jeune neveu que tu apprécies tant. » dit-il un sourire sadique aux lèvres sous le regard angoissé de Déoria
Le mercenaire se pencha vers la marchombre.
« Rejoins moi à la frontière demain matin et rien ne leur arrivera » lui chuchota-t-il avant de se redresser et de partir, non sans lui avoir griffé la joue avec la pointe de son sabre.
La jeune femme resta à terre jusqu’à ce qu’elle sente la main de sa mère se poser sur son épaule. Une autre main entreprenait d'essuyer les larmes qui s’étaient mise à couler sur sa joue.
« Je ne peux pas, je ne veux pas le rejoindre.
- Tu n’y es pas obligé petite sœur, tenta de la réconforter son frère.
- Si je ne le fais pas, il a promis de vous tuer.
- Nous sommes capables de nous défendre et nous avons plus d’un tour dans notre sac. L’aurais tu oublié? Déclara le faël en pressant l’épaule de sa sœur.
- Non, je sais. C’est décidé je repars. Si ça peut l’entrainer loin d’ici.
- Je vais mettre tout le monde à l’abri. Décida sa mère.
Le petit groupe se releva et pendant que son frère et sa mère planifiaient le départ des plus jeunes faëls, la marchombre prépara ses affaires.


Edit ipiu: Les fautes sont en rouge et les propositions stylistiques entre crochets. Vous avez tout loisir de modifier et corriger pour qu'il n'y ait pas du rouge partout ^^

edit vas': et voila fautes corrigées.

re edit vas': description ajoutée.

lapins?? O.o

Et oui p'tite Piu
Je te laisse en autonomie Vast'^^ raconte nous un peu ta vie de mercenaire *curieuse*